samedi 8 septembre 2007

Meeting à Des Moines (Iowa) de John Warren


Mes Chers amis,

Merci d’être venus si nombreux ce soir. Merci de votre présence qui me donne la force, l’énergie d’aller jusqu’au bout de moi-même dans cette campagne.
Pour vous, pour cette espérance que je sens en vous, pour les Etats-Unis d’Amérique, pour la patrie que nous aimons, pour ce pays dont nous sommes fiers, pour lequel tant d’hommes se sont battus et se battent encore actuellement en Iraq et en Afghanistan, mais aussi pour lequel tant d’hommes ont travaillé, pour lequel tant d’hommes ont créé, pour ce pays que nous voulons transmettre à nos enfants plus beau que nous l’avons reçu de nos parents, je suis prêt à relever tous les défis.

Je ne me laisserai pas détourner de mon objectif. Aucun mensonge, aucune calomnie ne me fera hésiter, encore moins reculer.
Les adeptes des basses manoeuvres en seront pour leurs frais. Je ne me laisserai pas entraîner dans le marécage où ils rêvent d’attirer toute la campagne parce qu’ils n’ont pas d’idée, pas d’argument, parce qu’ils préfèrent salir que débattre, parce que ne sachant comment convaincre ils préfèrent discréditer.
Je sais ce qu’ils valent. Je sais jusqu’où ils peuvent aller. Je sais qu’ils ne reculent devant rien.

Mais rien ni personne ne me découragera.
Rien ni personne ne me fera renoncer.
J’ai une haute idée de la fonction présidentielle, de la hauteur de vue et de la grandeur morale qu’elle exige. Cette exigence je me suis efforcé de me l’imposer à moi-même depuis le début de cette campagne. Rien ni personne ne me détournera de cette ligne de conduite. Je continuerai de dire aux Américains ce que je souhaite pour les États-Unis.
Je continuerai à parler à leur intelligence et à leur coeur.
Je continuerai à leur parler de l’avenir de notre Pays et de l’avenir de leurs enfants.
Je continuerai à essayer d’élever le débat, et croyait-moi, avec certain de mes adversaires, ce n’est pas facile tout les jours !
Pour moi, ce que je viens de vous citer, c’est ma conception de la politique.
C’est ma conception du comportement que l’on doit avoir lorsque l’on est candidat à la Présidence de la première puissance mondiale. C’est l’idée que je me fais de la dignité de la fonction présidentielle. Cette idée, je sais que nous la partageons. Je sais que je peux compter sur vous. Je sais que dans le combat pour la dignité et la morale en politique je vous trouverai toujours à mes côtés.
Ensemble, nous redonnerons au débat politique la hauteur d’où il ne devrait jamais descendre. Nous donnerons à cette campagne la hauteur de vue dont elle a besoin pour que les Américains puissent se décider en toute connaissance de cause.

Je vous remercie encore, d’être si nombreux ce soir pour témoigner que les États-Unis ce n’est pas fini, que les Etats-Unis veulent continuer de vivrent, que notre Nation continue de vivre dans le coeur d’une multitude d’Américain qui, comme vous tous, espèrent encore en elle, croient en ses valeurs. Je veux parler des États-Unis parce que je suis candidat à la présidence des Etats-Unis d’Amérique.

Les États-Unis c’est vous, c’est chacun d’entre nous avec son histoire, avec sa mémoire, avec son expérience de la vie, avec ses rêves.
Les Etats-Unis c’est un destin commun fait d’une multitude de destinées individuelles.
C’est une multitude de petites patries qui forment ensemble une grande patrie.
Ce sont des États qui se sont compris et qui se sont aimés.
Aujourd’hui, je suis venu voir un de ces États, l’Iowa et je suis très heureux d’être là ce soir.

L’heure du choix approche. Ce choix, tous les Américains le sentent bien, sera décisif pour chacun d’entre nous, décisif pour notre avenir et pour celui de nos enfants, décisif pour les Etats-Unis d’Amérique.

Pour éclairer ce choix, je dois expliquer mon projet pour l’Amérique de demain, tout d’abord pour ce qui est du code fiscal qui est un labyrinthe qui impose un énorme et inutile fardeau à nos concitoyens et employeurs. Je maintiendrais des impôts bas et je simplifierais le code fiscal, cela pourra accroître l'économie et donc augmenter notre compétitivité.

Les réductions d'impôt de 1 700 milliards de dollars déjà accordées deviendront désormais permanentes.
Les contribuables dont le revenu est supérieur à 200 000 dollars bénéficieront plus de réduction d'impôt.

Pour ce qui des créations d'emploi, je créerais de nouveaux avantages fiscaux qui encourageront la croissance des entreprises.

Je tiens au bonheur de tout les Américains, mais aussi à leur santé, c’est pourquoi, des crédits d'impôt faciliteront l'accès à l'assurance privée aux 40 millions d'Américains toujours non couverts. L'augmentation des primes sera contrôlée par des mesures limitant les recours légaux contre les médecins et les hôpitaux. Tout travailleur pourra cotiser à un régime individuel d'épargne-santé plutôt que de participer au régime de son employeur.
Moi, je pense qu’il y a deux catégories de responsables politiques : ceux qui se sentent une obligation de résultat et ceux qui s’estiment quittes, quel que soit le résultat, dès lors qu’ils ont essayé.
Ce que je propose au peuple Américain c’est un engagement de résultat.
Ce que je propose au peuple Américain c’est de remettre la morale de l’engagement au coeur de la politique.
Ce que je propose au peuple Américain c’est une certaine idée de l’Etat, de l’Etat qui a plus d’exigences vis-à-vis de lui-même que vis-à-vis des autres, de l’Etat qui n’a que des obligations envers les citoyens.
Je n’accepte pas l’idée que l’Etat ne peut plus rien faire. Je n’accepte pas l’idée d’un Etat qui s’excuse de vouloir agir.

Ensemble, nous referons l’Etat.
Ensemble nous rendrons à l’Etat sa dignité, son autorité, sa volonté.
Ensemble nous rendrons au Pays son unité.
Ensemble nous referons les Etats-Unis d’Amérique.
Ensemble nous rendrons aux États-Unis sa grandeur.

Que Dieu vous bénisse tous, et que Dieu bénisse les Etats-Unis d’Amérique !

vendredi 31 août 2007

Concert de Soutien au candidat John Warren

Un concert de la star de la Country Music, Manu Chesney, sera organisé ce mois-ci, afin de soutenir le canddiat John Warren !Ce concert aura lieu au célèbre Grand Ole Opry de Nashville.Venez nombreux, concert gratuit !

jeudi 30 août 2007

9ème clip de campagne " God Bless tthe troops and God Bless America"



I'M JOHN WARREN, I APPROUVE THIS MESSAGE

AND I AM PROUD TO BE AN AMERICAN

mardi 14 août 2007

Prochain meeting... dans l'Iowa !

Mes Chers Compatriotes,

Je voudrais vous dire "un grand merci" à vous tous d'être venus si nombreux assister à mon dernier meeting à New York, où vous étiez près de dix mille. Une date qui a marquée le début de notre campagne ! Ne manquez pas mon prochain meeting qui aura lieu à Samedi 8 septembre 2007 à Des Moines dans l'État de l'Iowa.

Soyez nombreux mes amis !


lundi 13 août 2007

Interview de John Warren sur CNN


CNN : Bonsoir Monsieur Warren. Bienvenue sur CNN. Je vous remercie de prendre le temps de répondre à mes questions.

John Warren : Merci de m’avoir invité !

CNN : Nous allons essayer d’éclaircir votre programme présidentiel pour le peuple américain, afin qu’il comprenne mieux quels engagements vous allez tenir. Prenons votre programme point par point. Votre programme concerne la lutte contre le terrorisme, un sujet très important depuis quelques années. Concrètement, quelles actions allez-vous entreprendre pour y parvenir ?

JW : Tout d’abord, je poursuivrais la politique offensive et défensive contre le terrorisme grâce au budget de 400 milliards de dollars que j’allouerais à la défense.La lutte contre la terreur se pratique partout dans le monde. Nos services de renseignements (CIA, FBI, NSA…) sont là pour lutter contre le terrorisme tout comme nos « boys » en Irak et en Afghanistan.Toutes les dispositions du Patriot Act, qui autorise une surveillance accrue des citoyens pour faire barrage aux terroristes, seront continuellement renouvelées jusqu’à nouvel ordre. car notre Pays est toujours en guerre contre ce qui, le 11 septembre 2001, nous ont attaqués et tués 3000 de nos fils, de nos filles, de nos pères ou de nos mères.

CNN : Parlons ensuite de la guerre en Irak. Comme le président actuel, vous voulez augmenter le nombre de troupes sur le terrain. Ne pensez-vous pas que, au contraire, le peuple américain veut voir leurs troupes se retirer progressivement de l’Irak afin de mettre une fois pour toutes fin à cette guerre qui ternit encore la réputation des Etats-Unis à l’étranger ?

JW : J’ai approuvé George W. Bush, quant-il a décidé d’augmenter le nombre de soldat en Irak, certes, mais comme lui, actuellement, j’attends des progrès en Irak et j’attends de voir la sécurité et le calme revenir.Vous dites que le peuple américain veut voir leurs troupes se retirer progressivement de l’Irak afin de mettre une fois pour toutes fin à cette guerre… mais… moi aussi, je veux en finir une bonne fois pour toute… croyez-vous que cela me plaise de voir nos « boys » revenir dans des cercueils ? Bien sur que non ! Mais si je suis président, il faut comprendre qu’un retour précipité de nos soldats serait catastrophique pour le peuple Irakien et même pour la stabilité tout entière du Moyen-Orient !Les terroristes prendraient le pouvoir en Irak, et là… la situation serait pire encore que celle où nous sommes arrivés en 2003.

CNN : Un sujet qui me tient particulièrement à cœur est la peine de mort. Pensez-vous que maintenir la peine de mort comme vous le proposez, mais aussi de refaire un référendum dans les Etats où elle a déjà été abolie peut faire pencher les électeurs dans votre camp ? De plus en plus d’états l’abolissent, pourquoi vouloir la rétablir ?

JW : Non, je ne veux pas faire un référendum dans les États où elle a été abolie pour faire pencher les électeurs dans mon camp ! Mais tout simplement laisser le choix au peuple de la justice qui sera rendu aux criminels qui tue de sang froid. Car j’ai observé que dans des États où la peine capitale a était supprimée ou bien restreintes, les gens de certains de ces États souhaitent la rétablir.D’ailleurs en Europe, nombreux sont ceux qui regrettent de l’avoir abolie.

CNN : Abordons un autre sujet important aux yeux du peuple : l’avortement. Vous dites que l’avortement restera interdit, sauf dans les deux cas que vous citez : le viol et inceste. Là, beaucoup de gens se demande : « Comment veut-il faire pour contrôler cela ? »

JW : Premièrement, l’avortement qui sera pratiqué alors que la femme n’a ni était violée, ni était en relation sexuelle avec un membre de sa famille sera puni par la loi. L’avortement clandestin sera lui aussi puni. Les campagnes de prévention : pour ce protéger lors des rapports sexuelles, ou bien l’abstinence seront financées par l’État pour faire comprendre aux gens qu’un enfant est un cadeau de Dieu, et le renier et un affront à celui-ci. Il faut préserver la vie. Et ne pas jouer avec !La répression des avortements clandestins sera elle aussi efficace.

CNN : Concernant l’environnement, j’ai une question que je ne peux m’empêcher de poser. Vous dites que, si vous êtes élu président, vous ratifierez le protocole de Kyoto. Venant de la part d’un Républicain, c’est déjà étonnant. Mais vous proposez d’autres mesures (qui sont très bonnes) : rendre les voitures plus écologiques moins chères que les autres, et accélerer le commerce des véhicules à hydrogène. La question que l’on se pose est : ne faites vous pas cela uniquement pour conquérir des électeurs ? Pouvez-vous nous donner une garantie que vous tiendrez cette promesse, alors que l’on sait que le protocole de Kyoto serait tout de même un frein pour la croissance économique du pays ?

JW : Tout d’abord merci du constat, « venant de la part d’un Républicain, c’est étonnant » : eh bien, je suis désolé de vous apprendre que le tord n’est pas toujours du côté Républicains et la raison du côté Démocrates ! Cela dit venant d’un journaliste de CNN, ce n’est pas étonnant (ironique).Pourquoi, quant un démocrate aurait un programme écologique, ça serait bien ; et quant un républicain aurait le même programme, cela serait pour conquérir des électeurs ?Non, je ne fais pas cela pour des nouveaux électeurs… mais pour nos enfants qui grandiront sur une planète de plus en plus polluée, et de plus en plus dangereuse si nous faisons rien !Et je l’ai déjà dit, je ne ratifierais pas le protocole de Kyoto immédiatement ! Je souhaite d'abord promouvoir l'énergie nucléaire (qui constituerait environ 80% de nos énergies...) - (énergie propre, qui ne dégage pas de CO2) et aussi des énergies renouvelables.Et ensuite la ratification du protocole de Kyoto ne sera plus un problème, il n'y aurait pas un risque pour l'économie US.

CNN : Parlons économie, un sujet plutôt complexe. Dans un premier temps, vous dites vouloir réduire la dette d’environ 450 milliards de moitié. En même temps, vous voulez faire diminuer encore les impôts, et accorder des réductions aux plus gros contribuables. Pensez-vous vraiment que cela est possible ? Ne pensez-vous pas que les gens à bas salaire vont manifester leur mécontentement s’ils voient que les riches bénéficient de plus en plus de réduction, malgré leur très haut revenu ?

JW : Non, je pense que les plus riches sont les moteurs de l’économie de notre Pays. Ils ont de l’argent, donc il dépense beaucoup, le pouvoir d’achat est donc plus fort ! Si nous taxons les plus riches, ils dépenseront moins, et le pouvoir d’achat sera faible. Enfin, j’accorderais des bourses de mérité aux étudiants pauvres et même aux étudiants trop riche pour être pauvre et trop pauvre pour être riche : les américains moyens ! Je ferais baisser le chômage encore… etc … j’encouragerais l’actionnariat … bref, tout le monde devra être acteur de notre économie !Je souhaite la réussite pour le peuple américain.

CNN : Une question maintenant sur l’éducation. Vous encouragez la prière à l’école. Ne pensez-vous pas que faire prier les enfants à l’école leur ôte la liberté de pouvoir juger eux-même la religion et prendre leur décision à ce sujet ? La religion et l’école ne devraient-ils pas être séparés ?

JW : Non, je ne pense pas que faire prier les enfants à l’école leur ôte la liberté de pouvoir juger eux-mêmes la religion et prendre leur décision à ce sujet ! Car peu de gens se la pose cette question ici aux Etats-Unis. Plus de 90% de nos compatriotes sont croyants. Enfin, vous me dites que « la religion et l’école ne devraient-ils pas être séparés », eh bien non, car elle fait selon moi, et beaucoup d’autre américain partit d’une bonne éducation. La religion remet dans le droit chemin.

CNN : Monsieur Warren, dans votre programme, vous ne parlez pas des droits des homosexuels ni des minorités ethniques. Un oubli de votre part ou un point non prioritaire?

JW : Ni, l’un, ni l’autre, il se trouve que j’y fais allusion dans mon programme.Pour moi et pour la majorité de américain, la définition du mariage comme étant exclusivement l'union d'un homme et d'une femme sera préservée par tous les moyens. L’interdiction du mariage entre deux personnes de même sexe sera inscrite dans la Constitution.

CNN : Monsieur Warren, merci de vos réponses.

JW : Merci à vous de m'avoir écouté!

lundi 2 juillet 2007

Le néo-conservatisme, ma religion.


Par Guy Millière, Les 4 Vérités Hebdo
Le mot étant devenu une insulte en France ces dernières années, j’étais sûr que parler de néo-conservatisme pour désigner la période qui s’ouvre dans notre pays me serait reproché et me vaudrait du courrier. Je dois, comme je m’y attendais, répondre maintenant.



Le néo-conservatisme est né aux États-Unis, dans un contexte et une configuration bien particuliers, mais il n’est pas obligatoirement ou nécessairement un phénomène propre aux États-Unis. Il y est question, en effet, de valeurs et de vision du monde qu’on peut rejoindre partout, particulièrement au sein de ce qu’on nomme la civilisation occidentale.



Le néo-conservateur s’oppose au conservatisme tout court en ce qu’il n’est ni passéiste ni autoritaire. Il n’est pas xénophobe. Il n’est pas fermé. Il est partisan de ce que Karl Popper appelait la « société ouverte » et défend l’importance de ce que Friedrich Hayek appelait l’« ordre spontané ». Il défend la liberté d’entreprendre et de passer contrat, ainsi que l’ensemble des libertés individuelles. Il considère que tous les droits dignes de ce nom sont fondés sur les droits de propriété ou reconductibles à eux. Et cela en fait un « libéral classique » au sens que ce mot a outre-Atlantique. Il pense aussi qu’une société ouverte ne peut fonctionner durablement si on n’y maintient pas les valeurs fondamentales sans lesquelles l’ouverture et la liberté n’ont pas d’avenir. Il constate que la confiance, l’idée que certains principes sont placés en transcendance dans une société et y dessinent les différences entre le bien et le mal, sont cruciales pour le maintien de ces valeurs.



Il porte sur la politique, guidé là par Leo Strauss, un regard faisant qu’il considère que celle-ci, elle-même ne vaut que guidée par l’éthique. Il considère qu’en l’ère de la mondialisation, dans laquelle il s’insère sans hésitation et les yeux grands ouverts, les droits des êtres humains doivent se trouver respectés le plus largement possible. Il considère que le cynisme ou l’indifférence vis-à-vis de crimes contre l’humanité, de comportements criminels ou d’actes barbares sont fondamentalement inadmissibles, surtout s’il était possible d’agir pour s’y opposer. Il préfère laisser l’accommodement avec les dictatures et les totalitarismes aux cyniques de droite et de gauche, sachant que sur la petite planète sur laquelle nous sommes, ce genre d’accommodement a, en général, des conséquences lourdes pour celui qui y a cédé.



Éthique et politique



Le néo-conservatisme a inspiré l’équipe Reagan et s’y est retrouvé : dans la dérégulation généralisée, les baisses d’impôts, l’économie de l’offre, une politique étrangère fondée sur des principes et qui a amplement porté ses fruits. Le néo-conservatisme inspire l’équipe George W. Bush, du conservatisme compassionnel destiné à replacer ceux qui sont tombés dans le statut d’assistés sur le chemin de la droiture, de la discipline et du travail aux baisses d’impôts destinées à relancer la croissance, d’une réforme scolaire (« No child left behind ») à une politique étrangère visant à « rendre le monde plus sûr pour la liberté ».



Contrairement à ce que je peux lire ici ou là, le néo-conservatisme n’est pas mort du tout aux États-Unis, et, du « Weekly Standard » de Bill Kristol au « Frontpage » de mon ami David Horowitz, ou au Hudson Institute, il continue à mener le combat des idées de façon influente.Ceux qui en France se retrouvent plus ou moins en lui pourraient avoir un passé marxiste ou maoïste au temps des illusions désormais perdues, comme André Glucksman ou Bernard Kouchner. Ils pourraient dire comme Irving Kristol, père de Bill, que les néo-conservateurs sont des idéalistes qui se sont heurtés à la réalité et discernent que, désormais, leurs idéaux ne peuvent s’accomplir que grâce au capitalisme et à la démocratie libérale.



Les valeurs de travail, d’éthique, de droiture en lesquelles les Français se sont reconnus récemment lors de l’élection de Nicolas Sarkozy et les valeurs exaltées par lui lors de sa prise de fonctions sont néo-conservatrices.La façon dont Bernard Kouchner n’a cessé de placer l’éthique humaniste et les droits de l’homme avant les considérations politiques est elle aussi, fondamentalement, néo-conservatrice.

- John Warren.

vendredi 15 juin 2007

Les démocrates oublient les leçons du 11 septembre 2001


Pendant une année environ, les Républicains et les Démocrates ont été d'accord pour ce qui concerne la nécessité de poursuivre fermement la guerre contre la terreur.

Ce n'est plus le cas. Presque tous les postulants démocrates à la candidature à la Présidence et nombre d'autres démocrates de haut rang se sont, au cours de la période récente, déclarés opposés à la guerre et ont ajouté que les actions contre le terrorisme devraient être essentiellement des opérations de police.

Howard Dean répondait à un interlocuteur qui lui demandait si, pour le cas où Ben Laden serait arrêté, il devrait être condamné à mort: "J'ai toujours été hostile à l'idée de prononcer une condamnation avant que la culpabilité d'une personne ne soit été avérée. J'ai toujours eu, ancrée au plus profond de moi l'idée que même avec des gens comme Ben Laden, dont la culpabilité sera très probablement démontrée, nous devons nous efforcer, si nous prétendons occuper légitimement le pouvoir exécutif, de ne pas anticiper ce que seront les décisions d'un jury." (Quelques jours plus tard, face aux critiques soulevées par ses propos, Dean a infléchi sa position et a ajouté "Je suis un Américain, et je suis sûr qu'il aura ce qu'il mérite, à savoir la peine de mort").

Richard Gephardt: "Je n'ai jamais ressenti qu'il était inévitable que nous nous recourrions à la guerre".

John Kerry: Le président Bush s'est "précipité à tort vers la guerre".

George Soros: "La lutte contre le terrorisme ne peut être gagnée en utilisant la guerre... combattre le crime requiert une action de police, pas une action militaire".

William Sloan Coffin: Après le 11 septembre, le gouvernement américain aurait pu souhaiter "obtenir la justice, mais par la force du droit, pas par le droit de la force".

Si l'on veut pleinement évaluer la significations des positions proses par ces démocrates, il faut retourner un peu en arrière. La violence islamiste contre les Etats-Unis a commencé en 1979: le gouvernement américain, quel que soit le parti au pouvoir, a pendant 22 ans, tout fait pour réduire la menace islamique à sa dimension criminelle.

Parce que les preuves contre l'Iran n'auraient pu paraitre suffisantes devant une cour de justice, la destruction de l'ambassade américiane à Beyrouth en 1983, où il y eut 63 morts, n'a fait l'objet d'aucune mesure de représaille ou de condamnation. En 1998, la réponse à deux attaques d'ambassades américaines en Afrique, attaques qui ont fait 224 morts, a consisté à traquer les auteurs, à les faire comparaitre dans un tribunal à New York et à les mettre en prison. Aucune action n'a été menée aux fins de s'attaquer à la structure de commandement, aux institutions financières, au substrat culturel ou à l'idéologie politique qui avaient alimenté ces actes de violence.Puis est venu le onze septembre, et la compréhension par le pays entier du fait que nous n'étions pas confrontés seulement à des attaques criminelles, mais à une menace d'ordre militaire. George Bush a alors parlé d'une guerre contre le terrorisme: d'une guerre, pas d'une action de police.

Cette nouvelle politique a eu très vite de vastes implications. L' une d'entres elles a été le recours à l'armée pour détruire le régime des taliban. Une autre a été le vote du Patriot Act, qui a permis de briser la cloison étanche séparant jusque là les services de police des services de renseignement.

Le Patriot Act peut sembler être une mesure technique, mais il a nettement renforcé les capacités d'action américaines. Pendant des années, les services d'enquête de la police ont dû rechercher des informations que leurs collègues des renseignements avaient déjà. "C'était totalement ridicule", note Barry Carmody, un agent du FBI qui a travaillé sur les liens de Sami al-Arian avec le terrorisme. Le Patriot Act a été voté et tout a changé. "Maintenant nous pouvons utiliser un jeu de 52 cartes, pas seulement la moitié du jeu", dit Mr Carmody.
Nous avons découvert une quantité de choses incroyable", a déclaré Joe Navarro, un autre agent du FBI en parlant de la masse de nouvelles informations dont il disposait soudain. Il a décrit cette découverte comme l'un des "moments les plus stupéfiants" de sa carrière.
Voici deux mois, le ministre-adjoint de la défense Douglas Feith a souligné le contraste entre les politiques menées avant et après le 11 septembre de la façon suivante: repensez, a-t-il dit, à l'attentat contre le World Trade Center en 1993, à l'attaque contre les tours de Khobar en 1996, à celles menées contre les ambassades des Etats-Unis en Afrique en 1998, ou contre le USS Cole au large du Yemen en 2000. Quand ces attaques sont survenues, les officiels ont évité d'utiliser le mot "guerre". Leur réponse première a consisté à faire appel au FBI aux fins d'identifier les individus à rechercher. Avoir discerné dans le 11 septembre un acte de guerre nous a permis de nous écarter des façons de faire en vigueur. Cette idée a été celle du président Bush, et la sagesse de cette idée est attestée par le fait qu'elle semble rétrospectivement de l'ordre de l'évidence.Evidence pour un temps, oui. Aujourd'hui, des démocrates de haut rang rejettent cette idée et demandent que nous en revenions aux pratiques d'avant le 11 septembre.Agir en ce sens serait faire un immense pas en arrière. Le nouveau type de guerre dans lequel nous sommes inclut des actes criminels c'est certain, mais ce n'en est pas moins une guerre. Désapprendre la douloureuse leçon du 11 septembre serait une bonne façon de commencer à perdre la guerre.

Alors, on 2008, votez tous Républicain, votez John Warren.

samedi 9 juin 2007

5ème clip de campagne " First Choice "

I'M JOHN WARREN
AND
I APPROUVE THIS MESSAGE TOO

mercredi 6 juin 2007

4ème clip de campagne " Defend our Nation "

1er meeting à New York City


(Standing Ovation…) Mes chers amis,

Avant toute chose, merci à toutes et tous d'être venus si nombreux à mon premier meeting de campagne. Je veux aussi remercier le maire de cette grande ville de New York, Mr Michael Bloomberg, que j’ai soutenu en 2002 pour la mairie de New York, et qui me soutien à son tour. Cette ville de New York, qui est aux yeux du monde entier, synonyme de liberté et du rêve américain. Voila pourquoi, ce lieu est si important à mes yeux.
(Applause.)

C’est donc, ici, à New York, que j’ai voulu tenir ma première réunion publique.
C’est ici, que j’ai voulu être ce soir, avec vous tous, rassemblé, pour engager ce dialogue que je veux nouer avec tous le Peuple Américain.
(Applause.)

Ici, sur cette terre de la côte-est, où l’expansion économique de New York a été rendue possible par sa situation géographique exceptionnelle. Établies sur un port naturel au débouché de l’Hudson, les activités portuaires ont induit le développement industriel de la métropole. L’industrie textile se développa tout au long du XIXe siècle avec l’arrivée des migrants d’Europe centrale et orientale.

Vers 1900, New York est la ville industrielle la plus importante de notre grande Nation, les Etats-Unis d’Amérique, notamment grâce à son secteur bancaire et aux industries lourdes implantées dans le New Jersey.

Puis arriva la crise des années 1960-1970 qui a engendré des friches industrielles dans le Bronx et le Queens. Pendant cette période, les usines ferment à cause de la concurrence internationale, déménagent ou se délocalisent à l’étranger.

Ainsi, le chantier naval de Navy Yard ferme ses portes en 1966. Entre 1953 et 1992, New York perd quelque 700 000 emplois industriel. Au] milieu des années 1970, la désindustrialisation et le déclin démographique poussent la ville au bord de la faillite.

Depuis les années 1990, plusieurs opérations de réhabilitation ont été menées dans plusieurs quartiers de la Grosse Pomme. Plusieurs zones industrialo-portuaires sont reconverties en lofts et en ateliers d’artistes.

C’est aussi ici, à New York, qu’ont eu lieu les attentats perpétrés contre les Etats-Unis d’Amérique, maintenant inscrits dans la mémoire collective, le mardi 11 septembre 2001 est une date qui a marquée à tout jamais l’histoire du monde, de notre Pays et de ce début du XXIe siècle. Les médias, notamment télévisuels, ont contribué à façonner ce dramatique événement. Les images de destruction diffusées en direct, montrées et remontrées, ont provoqué un choc.

Ce mardi 11 septembre 2001, notre Nation est entrée en guerre. Cette guerre combat le terrorisme, la terreur et l’oppression, n’importe où elle se trouvera, nous le combattrons, ensemble. Le terrorisme, nous devons lui rendre coup sur coup, le frapper là où ça fait mal. N’oublions jamais cette journée là, où nous avons perdu 2 985 de nos fils, de nos filles, de nos mères, de nos pères ou de nos amis.
(Applause.)

Je voulais aussi, vous raconter une histoire, celle de la veuve d´un pompier de New York qui malgré la barbarie des terroristes, pardonne aux assassins de son mari.Mme Jean Palombo élève désormais seules ses enfants.

"Pardonne-leur. Ils ne savent pas ce qu'ils ont fait". Ce sont ses paroles, celles que Mme Jean Palombo a prononcées après la mort de son mari, Frank Palombo, l'un des 343 pompiers héroïques qui ont perdu la vie dans l'attentat du World Trade Center, le 11 septembre 2001, à New York.Jean épousa Frank Palombo en 1982. Elle a 41 ans. Son mari en avait 46. Elle reste seule avec leurs dix enfants. L'aîné a 15 ans, la dernière, un an. Frank appartenait à la paroisse de San Columbano, à New York, et faisait partie du Mouvement Néocathécuménal."Le 11 septembre je me suis réveillée avec une sensation étrange car je croyais que j'étais enceinte, raconte Jean dans une interview accordée à l'hebdomadaire italien "Tempi". J'ai dit à Frank: "Je ne peux pas, encore, si tôt. Je vais devenir folle". Frank m'a répondu: "Ne t'en fais pas pour cela… Mais à propos. Comment est-ce qu'on va l'appeler? Je me suis mise à rire. Il savait toujours comment me faire rire…".Après avoir conduit les enfants à l'école elle a entendu comme un bruit de tonnerre et très vite, des rumeurs sur le premier avion qui s'était écrasé contre l'une des Tours."J'ai très vite appris dans mon mariage, que la femme d'un pompier ne doit jamais regarder la télé quand son mari travaille sur le lieu d'une catastrophe et c'est ce que j'ai fait. Mais le soir j'ai compris qu'il s'était passé quelque chose parce qu'il n'avait pas appelé et personne ne savait où était son équipe", raconte-t-elle."A minuit, nous avons appris qu'ils s'étaient dispersés. Quelques jours plus tard, j'ai su que je n'étais pas enceinte", déclare-t-elle. Au micro de "Radio Vatican", elle précise: "Je me souviens de lui avoir dit au revoir et de l'avoir embrassé, ce matin-là. Je me souviens de m'être sentie en communion avec lui. Puis je me souviens d'un bruit très fort, comme un bruit de tonnerre. Plus tard j'ai su qu'il s'agissait d'un avion et j'ai pensé: qu'est-ce qui se passe dans le contrôle du trafic aérien? Puis j'ai entendu parler du deuxième avion. Je savais que Frank était au travail et qu'il serait allé au World Trade Center. J'ai espéré longtemps qu'il reviendrait et qu'il se trouvait là où arrivait l'air. J'espérais parce que s'il y avait quelqu'un qui pouvait survivre, c'était Frank. Mais quand je suis allée à ground zero" et que j'ai vu les tours… j'ai dit: "il est mort". J'ai commencé à comprendre. Je suis rentrée à la maison et je l'ai dit aux enfants, mais je crois qu'ils le savaient déjà. Moi j'avais dû le voir pour le croire".La vie de Jean et Frank n'a pas toujours été facile. "Il y a dix-sept ans, raconte Jean à l'hebdomadaire "Tempi", j'avais quitté l'Eglise. Je ne voulais pas d'enfants. Mon mariage se désintégrait peu à peu. Frank m'invita un jour à entendre quelques catéchèses. Je lui répondis: "Ce sera la dernière chose que je ferai dans l'Eglise catholique"."Ce soir-là j'ai vu le christianisme à travers un couple itinérant qui attendait son quatrième enfant. Ils avaient tout laissé: leur maison, leur carrière, leur pays, pour annoncer l'Evangile. Je me suis dit: Dieu m'aime tant qu'il a donné à quelqu'un ce désir pour que je puisse entendre la Bonne Nouvelle".
(Applause.)

"J'ai compris tout de suite que je n'avais pas cet amour, ni même pour mon mari. Tout de suite après, j'ai entendu, dans une catéchèse, de la bouche du catéchiste Joseph: "Tu crois peut-être que Dieu est un monstre, pour ne pas le laisser faire sa volonté dans ta vie…". La vie s'est ouverte devant moi et aujourd'hui, avec dix enfants, je peux dire que Dieu connaissait les désirs de mon coeur". (Applause.)

A une question concernant la mort de son mari elle répond: "Le Seigneur me l'a donné, le Seigneur me l'a repris. Béni soit le Seigneur. Je crois que Dieu travaille pour le bien de ceux qui l'aiment. Cet événement a été un grand mal. Mais l'amour de Dieu est plus grand que ce mal. Lorsque je pense aux terroristes, je ne peux que dire: "Père, pardonne-leur. Ils ne savent pas ce qu'ils ont fait"."Frank me manque terriblement et je pleure beaucoup, reconnaît Jean. Mais je sais qu'il continuera à nous aider du Ciel. Je demande une plus grande intimité avec le Christ car je suis sûre qu'elle portera des fruits aussi beaux que ceux qu'a porté mon intimité avec Frank"."Frank, conclut-elle, a transmis la foi aux enfants et ils me consolent souvent avec une parole. Les enfants sont heureux d'avoir le père qu'ils ont, mais c'est dur de ne pas pouvoir jouer avec lui, prier avec lui, apprendre avec lui, être avec lui. J'ai peur, mais je m'accroche au Seigneur. Nous continuerons, dans l'Eglise, à faire la volonté de Dieu". (Standing Ovation…)

[…] C’est un témoignage très émouvant, que je souhaitais vivement vous faire partager cette après-midi.
(Standing Ovation…)

Je voulais vous dire aussi que les Etats-Unis d’Amérique doivent montrer à tous les hommes qu’avec un peu d’intelligence, de cœur et de courage on peut déjouer le destin.

Notre Nation doit dépasser ses clivages, surmonter ses divisions pour vaincre ses doutes, pour se hisser de nouveau à la hauteur de ce que tant d’hommes dans le monde attendent d’elle, pour faire revivre son idéal d’humanisme.

Cet humanisme, je voudrais qu’il soit le principe même de notre politique. Je voudrais qu’il vive à l’école, je voudrais qu’il vive dans notre société, dans l’économie, dans la culture, dans le droit, dans notre rapport à la nature, dans notre rapport aux autres, dans notre diplomatie.

Mes chers Compatriotes, mes chers amis, tous ensemble, si vous le voulez, forts de nos valeurs, forts de notre histoire, une fois encore nous nous relèverons et nous éclairerons pour tous les hommes le chemin de l’avenir.

Thank you all !!
May God Bless you
And
May God Bless America !
(Standing Ovation…)






jeudi 31 mai 2007

Vidéo John Warren : " The War on Terror "

Tout d'abord, je n'ai pas souhaité que cette vidéo soit la 4ème de ma campagne pour les élections présidentielles de 2008, elle n'est pas publiée pour que l'on vote pour moi, mais pour rappeler que des misérables islamistes radicaux nous ont attaqués le 11 septembre 2001 et ont fait 3.000 victimes (innocentes). Je publie cette vidéo aussi pour rappeler aux gauchistes que nous sommes bien en Guerre, nous sommes entrés dans la 3ème guerre mondiale. Le terrorisme est partout, et nous devons lutter ensemble contre ce virus.

MAY GOD BLESS YOU
AND
GOD BLESS THE UNITED STATES OF AMERICA !!


dimanche 27 mai 2007

samedi 26 mai 2007

2ème clip de Campagne " Support the troops "

1er Meeting à New York mercredi 6 juin 2007


Le premier Meeting de John Warren aura lieu à New York,
le mercredi 6 juin 2007 à 14 h 00 :"J'aborderais les valeurs
et l'histoire de notre Pays, mais aussi de la guerre contre
le terrorisme, d'où ce lieu, où tout a commencé
un mardi matin : le mardi 11 septembre 2001".




mardi 22 mai 2007

Interview de John Warren par Bill O'Malley

Bill O'Malley : Bonsoir Mr Warren,

Vous avez pris la décision de créer votre exploratory committee aujourd'hui, pour peut être vous présenter à l'investiture du GOP pour la présidentielle de 2008. Qu'est-ce qui a motivé chez vous cette décision ?

John Warren : C’est une décision que j'ai mûrement réfléchie, cette décision c'est pour moi le choix d’une vie. C’est une lourde responsabilité vis-à-vis de tout les Américains auxquels je demande de me faire confiance. Je souhaite porter les valeurs Républicaines en plein de cette campagne présidentielle pour 2008. Je me sens la force, l’énergie et l'envie de proposer une autre vision des États-Unis. Une grande vision à l'image de notre Nation.J’ai l’ambition de créer une nouvelle relation avec les Américains qui repose sur deux mots : confiance et respect, confiance en la parole donnée au peuple et respect de chaque Américains pris individuellement.Je veux être le candidat du peuple.

BO : Merci Mr Warren pour cette réponse très patriotique ! Quoi que assez classique en réalité.Nous avons vu qu'une multitude de candidatures se déclarent chez les Républicains. Si vous avez pris cette décision, c'est très clairement que les autres candidats ne vous convenaient pas. Donc pourquoi avoir décidé de travailler à cette potentielle candidature ? Quel autre candidat fut votre repoussoir faisant que vous souhaitez prendre cette place ?

JW : Aucun candidat Républicain fut mon repoussoir, je souhaite juste exposer un projet qui me semble différent de mes amis Républicains.Je ne peux être d'accord sur tout les points de la campagne de Wesson par exemple, car je souhaite que notre Pays ratifie le Protocole de Kyoto, car nous voyons très bien en Californie les progrès accomplis par Arnold Schwarzenegger en matière environnemental. Notre Pays est un exemple aux yeux du monde entier au niveau démocratique, faisons de même en écologie!! Les Républicains décideront par la suite si il préfère mon programme à ceux des autres candidats de la GOP. Je respecterais ce choix.

BO : ok, je vois...
Parlons donc un peu programme. Si finalement vous êtes candidat à l'investiture, l'un de vos points fondamentaux sera donc la ratification du protocole de Kyoto ?

JW : Pas seulement, non!! je ne suis pas le candidat des verts ! J'ai pleins de valeurs Républicaines! je suis pro-life, pour le port d'arme, pour la guerre en irak, pour la peine de mort...

BO : Je comprend bien ! Ma question était pour savoir quels sont les priorités selon vous aujourd'hui à régler dans la politique américaine, et comment ?

JW : La priorité des priorités, c'est bien sur c'est l'Irak, il faut gagner cette guerre contre le terrorisme, car ce qui tue nos guys là bas, ce sont eux, les terroristes, les mêmes qui ont tués nos frères, nos soeur, nos amis le 11 septembre 2001. C'est pour cela que je soutien George W. Bush sur une augmentation de l'effectif de nos hommes là bas. Ensuite, je pense qu'il faut devenir un exemple aux yeux du monde entier au niveau écologique, sans qu'il n'y ait de conséquences sur notre Economie.

BO : Très bien. Vos priorités sont donc l'Irak et l'environnement. Sur ces deux points précis qui vous tiennent donc à cœur, comment allez-vous proposer de les résoudre ?

JW : Au niveau écologique :je souhaite accélérer la commercialisation des véhicules équipés de piles à combustible fonctionnant à l’hydrogène. Je souhaite que les voiture qui ne polluent pas soient moins cher que les voitures qui poluent, c'est une question de logique. Je souhaite aussi signer le protocole de Kyoto pour diminuer la production de gaz à effet de serre, mettant les États-Unis en conformité avec la grande partie du monde au niveau écologique.Pour l'Irak :Je maintiendrais l'ordre de l'augmentation de l'effectif en Irak.Si la situation ne se calme pas au bout de plusieurs années, malgrès ces efforts, il faudra envisager un autre plan.

BO : Okay Mr Warren, nous mettrons, et les téléspectateurs aussi j'en suis sur, votre manque de précision dans vos réponses au fait que vous vous présenterez peut être mais que vous n'avez pas envie de prendre des risques pour le moment. Une dernière question, car on me fait signe que nous n'avons plus beaucoup de temps. Quel candidat craignez vous le plus pour le moment dans cette primaire ?

JW : Je n'ai peur de personne. Tout les Républicains donnent leurs programme pour l'avenir du Pays et du monde. Ca sera aux Républicains de choisir lors des primaires, lequel de tous les candidats porterais le mieux les valeurs Républicaines qui seraient bénéfique pour le Pays.

BO : Thanks Mr Warren ! We appreciate it. (en Français ça claque moins sa formule de remerciement :D ) Et bien sûr pour tout le monde vous pourrez retrouver toutes nos dernières interviews que vous auriez raté sur mon site officiel : http://theomalleyfactor.canalblog.com/

1er clip de Campagne " The Red, White and Blue "


Inauguration du QG de Campagne de Warren

QG de Campagne de Warren à Houston (Texas)

Je suis candidat à l'élection Présidentielle des États-Unis d'Amérique pour 2008


C’est une décision que j'ai mûrement réfléchie, cette décision c'est pour moi le choix d’une vie. C’est une lourde responsabilité vis-à-vis de tout les Américains auxquels je demande de me faire confiance. Je souhaite porter les valeurs Républicaines en plein de cette campagne présidentielle pour 2008. Je me sens la force, l’énergie et l'envie de proposer une autre vision des États-Unis. Une grande vision à l'image de notre Nation.J’ai l’ambition de créer une nouvelle relation avec les Américains qui repose sur deux mots : confiance et respect, confiance en la parole donnée au peuple et respect de chaque Américains pris individuellement. Je veux être le candidat du peuple.